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Téléphone: Katia Laï 0497/74.60.47

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Rubik's compagnie... Katia Laï

Katia, en quelques mots:

Formée en théâtre et chant, Katia est une passionnée à l’écoute d’un besoin de s’exprimer à la fois sur les planches, par l’écriture mais pas seulement…

Photographe diplômée, elle laisse vagabonder son objectif au fil de ses émotions.

Son travail se définit comme contemporain, elle aime immortaliser les textures et les effets de matière, un repère artistique qui rend hommage à la vie et aux marques du temps ...

Artiste plasticienne autodidacte, elle caresse les toiles de ses pinceaux, et laisse son imagination créative exploiter les matériaux les plus divers.

Rubik's compagnie... Justine Géradon

Justine Géradon fini en 2014 son Cursus au Conservatoire Royal de Bruxelles où elle a été formée entre autre par Olivier Coyette, Alexis Goslain ou encore Christophe Herrada. Forte de sa culture américaine et de sa connaissance de la langue anglaise, (elle a passé toute son adolescence à San Francisco) Elle se lance dans la mise en scène de Manque, écrit par Sarah Kane lors du festival Courant d'Airs 2013. Fin 2013, elle à l'opportunité de faire un assistanat sur une pièce en wallon, monté au Théâtre de Liège. Grâce à cette expérience, elle va découvrir l'univers du théâtre pour enfant et jeune public, et surtout celui de la marionnette grâce à Isabelle Darras.

Rubik's compagnie... Géraldine Platbrood

Géraldine Platbrood

Assoiffée de création depuis sa plus tendre enfance, Géraldine pratique de nombreux moyens d’expression en passant par la danse, la musique, le chant, le dessin, l’écriture et la photographie. Après avoir arpenté durant plus de 10 ans les couloirs du conservatoire Arthur Grumiaux de Charleroi, elle décide de faire une pause artistique et de se consacrer à sa deuxième passion le français. Elle entreprend donc un régendat à l’E.N.C.B.W..  Toutefois,  cette amoureuse de la scène,  ne laisse jamais bien longtemps les planches loin de son chemin. Très vite, elle participe activement à de nombreuses activités artistiques sur le campus. Enfin en  2009, elle réalise son rêve et intègre le Conservatoire de Bruxelles. Son cursus maintenant terminé, elle imagine la suite de ses aventures et continue de rêver.

Il était une fois...

Le premier jour, la compagnie troc’en conte créa le besoin d’être ensemble. Trouver un partenaire qui partage vos délires artistiques n’est pas chose aisée, mais quand on l’a trouvé, on ne peut s’empêcher de vouloir créer. C’est de cette manière que Katia, photographe confirmée aux talents éclectiques et Géraldine, la comédienne néophyte s’unirent pour le meilleur et pour le rire.

Le deuxième jour, les troc’encontoises créèrent le besoin de créer. Pour Géraldine, être au conservatoire, c’est apprendre à dire les mots des autres à sa sauce. Cependant, il arrive un moment où, selon elle, on a envie de devenir le chef coq et de cuisiner à sa guise cette langue tant aimée. Et puis, on a déjà assez vadrouillé pour avoir de quoi raconter. Pour Katia, quant à elle, elle a roulé sa bosse au fil des années, emmagasiné récits et rencontres. Il lui manquait l’opportunité pour gratter la plume sur le papier. Voilà chose faite. Nourries, donc, de leurs parcours et expériences personnels, elles ont eu l’envie de s’essayer à l’écriture. Quoi de plus douillet que les murs qui ont vu s’épanouir des apprentis artistes depuis des décennies pour l’éprouver. Ainsi, leur premier spectacle s’esquissa autour d’une table Forest Stewardship Council de chez Exki© dans le cadre du « festival courants d’airs 2014 » du Conservatoire royal de Bruxelles. Tess et Zaïs, personnages principaux d'une aventure mistral, virent le jour. Une pincée de chacune de leurs créatrices, un soupçon de ce qu’elles aimeraient être, quelques gouttes de poésie et un brin de philosophie et « Par grand vent » sortait des brumes de leur imagination. Une histoire de voyage, de fragilité, d’initiation, de transmission, mais aussi de souvenirs et d’inventions. Bref, une aventure composite à 4 mains et plus au cours de laquelle le bonheur de la complicité prédomine.

Le troisième jour, les contrées troc’encontoises virent naître le besoin de partager. Partager leur folie dans le vase clos de leur duo, mais aussi partager leurs envies, leurs délires, leurs rêveries, leurs idéaux avec un public encore à conquérir. Quel sacré défi ! Quel générateur d’adrénaline ! Le monde ne s'est pas créé en trois jours... Certes ! C'est pourquoi les troc'encontoises continuent d'imager les aventures du reste de la semaine.

Affaire à suivre donc.